Fiche d'Identité
Nom : Ii-Grandin. Ii était le nom de ma mère quand elle a été adoptée pas l'okiya Ii. Grandin était le nom de mon époux. J'ai peut-être juste 22 ans. Mais j'ai réellement été mariée et veut que l'on respecte la mémoire de mon époux.
Prénom : Maya. C'est peut-être la seule certitude que j'ai dans ma vie. Que l'on respecte mon prénom. Je ne veux pas de Maya l'abeille ou de surnom du genre. Je suis Maya. Tout simplement Maya.
Âge : J'ai 22 ans. J'ai été mariée à un homme de 27 ans, acteur.
Classe : Si vous m'accorder une classe, j'enseignerais l'éducation au choix de carrière (ECC), Formation Professionnel et Sociale (FPS), Morale et Éducation Sexuel. J'ai une formation classique en éducation.
Fiche De Description
Physique: Je suis née au Japon. D'une mère geisha et d'un père disons inconnu. J'ai hérité des yeux noisettes de mon père et de la légendaire beauté de ma mère. Mes yeux sont d'un brun qui ressemble à celui des toits des salon de thés les plus luxueux que ma mère fréquentait quand elle était dans son climax alors que moi, je souffrait dans l'okiya, mais c'est une autre histoire. J'aurais par contre payer pour avoir les yeux de ma mère. Ils étaient bleu ciel, ce qui est rare pour une japonaise. Ils sont très peu bridés et c'est probablement la raison qui fait que les adorent. Combien de fois me suis-je fait demander si je ne me les étaient pas fait débridés? Mon menton est mince et pointu. J'ai un petit nez qui fait comme dans les plus beau manga. Mes sourcils sont épilés depuis que j'ai sept ans à ma mémoire. Ils donnent à mon visage une expressivité exubérante, mais tel était la demande de ma mère. La fille de Sayuri devait être parfaite, voila tout! Avec mes pommettes rondes et roses, je compense le teint plus pâle que j'ai au naturel. J'ai une petite bouche ronde et rouge qui est souvent dites comme chaleureuse. Mes cheveux sont d'un ébène profond. Je suis relativement petite et je suis mince. Je pèse 100 livres pour 1 mètre 55. Mes formes sont par contre généreuse et selon beaucoup, elles sont très belles. Mais comment fait-on pour savoir avec assurance ce que les autres pensent de notre apparence? Faut-il tout simplement nous déshabiller et leur demander leur avis? Faut-il leur montrer que l'on veut être heureuse d'être une femme? Faut-il leur montrer que l'on a confiance en soi? Au contraire, faut-il se montrer soumise? Dans le milieu ou j'ai été élever, l'apparence physique prime sur le moral et la mentalité. Je serai née laide, je ne serais possiblement pas en vie en ce moment.
Psychologie: J'ai été élever dans l'ombre d'une mère qui aurait bien aimé de pas m'avoir dans les jambes. Selon elle, je n'ai fait que lui apporter des ennuis. J'ai donc cette fâcheuse tendance à ne m'attacher à personne en ayant peur de ce que les autres me repousse comme ma propre mère l'a faite. D'un autre coté, je suis quelqu'un extrêmement sociale qui a besoin des autres pour sentir qu'elle existe. Je ne peux pas être heureuse en sachant que les gens qui me sont chers ou de parfait inconnus sont malheureux. J'ai toujours été trop sensible au dire de ma mère et de la directrice de ma maison de geisha. La sensibilité aux sort des autres est-elle une qualité ou un défaut? J'ai vécu dans l'idée que c'était mal pour une femme de ma classe de se tenir au courant de l'actualité. Tout ce que j'avais à savoir c'était l'art. De celui de servir le thé à celui de séduire un homme. Je ne suis pas une femme plaignarde et j'assume très bien que l'homme a ses défaut. Moi-même j'ai mes défauts. Je ne suis pas aussi extravertie que ma mère l'aurait souhaiter. Je suis quelqu'un qui parle beaucoup et à qui il ne faut pas confier de secret si tu veux qu'il reste secret. Je ne sais pas jouer à ni oui, ni non... bon, je ne sais pas si c'est un défaut mais... on ne sait jamais! On sait que je suis dominé par l'eau. Je suis quelqu'un de calme, doux et de rêveur. Mais ne vous fier pas seulement à cela. L'eau est peut-être calme en apparence mais quand elle éclate, elle est très dure à ramener sur le droit chemin. Ne pensez pas seulement que je peux écouter. Quand j'en ai ma claque, ça se voit, ça se sent! Dans ses cas-là, ne me touchez pas! Quand j'éclate, je suis une tornade qui détruit tout sur son passage en commençant par elle-même. On me dit souvent comme excessive et déterminée au point d'en ignorer le danger. Si je veux quelque chose, pour l'amour de dieu, tassez-vous de mon chemin.
Autres: J'ai une bague en or. Je sais que c'est stupide. Mais je l'ai toujours sur moi. C'est un porte chance. C'est pire qu'une religion pour moi. Il est collé à moi. Le perdre ferait que je revirais ciel et terre pour le retrouver. Que dire d'autre... J'ai un tatou dans le dos. Sur l'omoplate droite. C'est le mot liberté en chinois. Ça été la première chose que j'ai fait quand j'ai eut ma majorité, je suis rentrer dans une boutique ou on fait des tatou. Et je me suis faite tatouer! Pourquoi le mot liberté? Parce que c'est ma quête et que je me souviens des efforts pour ma liberté!
Histoire :La Fabuleuse Histoire de ma Mère, Sayuri Ii
Ma mère est née dans un des quartiers les plus pauvres du Japon. Mes grands-parents étaient heureux malgré leur pauvreté. Mon grand-père était pêcheur et ma grand-mère était femme au foyer. Miya, ma mère, était la cadette d'une famille de neuf enfant. Quand elle a eut trois ans, ses parents ont réalisés qu'il n'auraient jamais l'argent qu'il fallait pour éduquer un neuvième enfant. Alors ils ont pris la décision la plus dure de leur longue vie. Ils ont vendu ma mère à une okiya du quartier de Gion. Ma mère oubliait son nom de famille et devenait une Ii. Elle conserverait son prénom jusqu'à ce qu'une geisha accepte de devenir sa grande soeur. Quand elle a eut sept ans, elle fut accepter dans une école de geisha. Elle appris à danser, à chanter, à jouer de la musique et à servir le thé, comme je l'apprendrais bien des années plus tard. Jamais, elle ne fut malade. Autant que je fus souvent décrite comme la pire geisha par la femme qui dirigeait mon okiya que ma mère fut décrite comme la meilleur geisha que la terre ait porter par mère. À l'âge de dix-huit ans, elle fut pris sous la tutelle de la plus grande geisha de l'histoire de Gion, du moins à l'époque. Un an plus tard, elle abordait le nom de Sayuri. Un an plus tard, elle subissait sa première relation sexuelle et à vingt ans tout juste, elle apprenait qu'elle était enceinte de moi. Pour une geisha être enceinte est un gros drame. Mais son mizunage avait rapporter tellement que l'on la laissa vivre sa grossesse et elle accoucha de moi, bien à regrets.
Moi, Bad Girl Going A Devil
Pour ma mère, j'étais, de loin, son plus grand malheur. J'étais une fillette frêle et fragile à la santé fragile. Sayuri ne m'aimait pas en partie pour cette raison. Elle ne m'a jamais dit qu'elle était fière d'être ma mère et qu'elle m'aimait. C'est dur d'avoir une mère qui ne nous aime pas. C'est très difficile de grandir sans que sa mère ne nous adresse la parole sauf pour nous faire des commentaires négatifs. Je n'étais jamais assez droite. Le riz que je faisais cuire était toujours soit trop cuit ou pas assez. Je ne servais pas le thé de ma bonne manière. Je ne savais pas jouer de la musique. Je n'avais pas la grace de ma mère quand elle dansait. Et un jour, je suis entrée à l'école de geisha. On avait beaucoup d'attente face à moi. Je devais me montrer comme la digne fille de Saruyi Ii, héritière de l'okiya Ii. Sous peine d'être battue. Malheureusement, je n'étais pas aussi douée que ma mère... Qui aurait pu avoir pour Mère, le talent de Sayuri? À l'age de seize ans, je fus retirée de l'école. Je n'obtiens jamais mon diplôme de geisha. J'étais un enfant indigne qui était souvent malade. À seize ans, j'avais cumulés des dettes telles qu'il m'aurait fallut un Mizuage deux fois plus cher que celui de ma mère pour compenser la moitié de mes dettes médicales. On me condamna. Je deviendrais une servante. À vie. De toute façon quelle geisha aurait aimer comme petite soeur une geisha telle que moi? Qui aurait voulus payer pour voir une femme comme moi? Je ne voulais pas d'une vie telle. Condamnée aux regards cru et dégouter de ma mère. Je voulais garder ma fièrté. Je voulais enseigner. Pendant deux ans, Je me suis plier à tous les ordres sans broncher. Mais ce n'est pas une vie que d'être soumise aux pied des autres, jour après jour. Du moins, ce n'était pas la vie que je voulais.
La Fuite
Un jour, j'ai eut dix-huit ans. Dix-huit ans, c'était ma majorité et le droit de décider pour moi. Ce soir la, j'en ai eut ma claque. Ma claque d'être soumise sous ma mère. D'être la victime de ce que pensait les autres. J'en ai eut marre de m'incliner devant les autres geishas. Je n'enviais pas leur conditions. Ma mère avait un homme avec qui elle couchait sans l'aimer pour être payer. Mais ce n'était pas la vie que je voulais. J'avais mon idée de l'amour. Mon idée de la romance. Je voulais voler de mes propres ailes. Et j'avais dix-huit ans. 18 huit ans et le pouvoir de faire ce qui me plaisait! Ce jour-là, j'ai mis tous mes effets personnels dans un sac. Tout ce que j'avais besoin. J'ai piquer une dizaines de kimonos. J'ai piqué dans ma mère des broches pour les cheveux et du maquillage. Et je lui ai écrit une lettre.
- Citation :
- Pourquoi depuis sa tendre enfance
Ils se moquent de son apparence
Leurs yeux percent comme des couteaux
Elle porte plus d'une marque sur sa peau
Que savent-ils de son silence
De l'envie d'une autre existence
Pourquoi certains ont la chance
De vivre riche en d'autres circonstances
Elle rêve
Pour mieux s'en sortir
Elle apprend à guérir
Le reste importe peu
Elle avance en silence
Derrière son sourire
Je vois des larmes
Je vois son coeur et son âme
Le temps n'efface pas le mal
Mais elle avance en silence
Pour ne plus jamais ressentir
Un autre soupir,
Et ferme les yeux et s'endort
Le temps n'efface pas son sort
Mais elle avance en silence
Pourquoi tout semble manquer
Pourquoi tout semble la condamner
Pourquoi eux vivent dans les beaux quartiers
Sans voir ce qu'elle a à donner
À chacune a son histoire
La sienne est vide mais elle y croit encore
Trop tard on finit par comprendre
Qu'avec le temps la douleur s'évapore
Ce soir la, j'en ai eut ma claque et j'ai pris la fuite. À deux heure du matin. Après avoir laisser la feuille bien en vue sur une table, j'ai déguerpi comme une voleuse de la maison, de ce que j'avais toujours appeler la maison.
Errance et Mariage
J'étais libre de décider. Je me suis arrêter dans une place à tatou en plein coeur de Tokyo. La première chose que je faisais pour me débarrasser de ces masques que l'on m'avait imposer. Je me faisais tatouer. Liberté. Parce que j'étais libre. Une esclave de sa mère affranchi par sa propre volonté de vivre. J'ai erré dans les rues de Tokyo durant des jours. Dormant dans des parcs. Un matin, un bel américain s'est arrêté. Il s'est assis sur le bout de mon banc de parc. Il avait les yeux bleus et ressemblait à un acteur. Il m'a dit qu'il me suivait depuis plusieurs jours. J'ai eu peur. Il me demanda que pouvait faire une femme habillée en soie à dormir dans des parcs miteux. Il était un ange envoyé du ciel. Il me proposa une chambre d'hôtel. Il me proposa de m'aider à porter mon sac. Je lui obéis. J'avais fondu devant ses yeux, cette peau, et cette chaleur humaine. Il se présenta Michael. Acteur. Américain. En tournage d'une série pour trois ans. Célibataire. Je me présentai Maya. Servante de Geisha. Japonaise qui n'avait jamais voyager. En quête d'une liberté que ma famille ne voulait me donnée. Célibataire. Ces yeux étaient pleins d'étoile. Pendant l'année qui suivit, nous apprîmes à nous connaitre. Les jours de soleils, nous marchions dans les rues bondés de Tokyo et dans les parcs déserts. Pendant les jours de pluies, nous buvions ensembles. Nous allions au cinéma. Nous étions de fil en aiguille devenus ami. Et cette relation d'amitié se transforma en relation amoureuse. Après trois ans de fréquentations, Il me demanda en mariage sur le bord de la plage un beau jour de soleil. Nous nous mariâmes l'été de mes 21 ans. J'allait entrer en dernière année de bac.
Le Coup de Grâce du Destin
Pour mon ange, je me serai faite teindre en blonde. J'aurais revirer ciel et terre pour ses caresses. Ma santé, à moi, allait mieux. J'étais heureuse et j'associais ce bonheur à ma bonne santé. Le destin fait mal les choses. En Octobre 2006, des hématomes commencèrent à apparaitre sans raison sur le corps de mon époux. Il alla consulter un docteur puisqu'il s'inquiétait pour sa santé. Les soins de santé au Japon ne sont pas les meilleurs. Mais ils sont assez pour poses des diagnostiques. On diagnostiqua, chez Michael, un cancer du sang. Leucémique. Notre univers construit prudamment s'écoula sous le poids du diagnostique. Ensemble nous nous accrochâmes à la vie. Chaque semaine, il était traité et revenait à la maison pour reprendre. C'était le combat d'une vie. Mon mari contre la mort qui tentait de le reprendre. Je manquais la plus grande partie de mes cours en enseignements pour pouvoir prendre soin de mon mari. Radiothérapie, Chimiothérapie et même Zoothérapie ne réussirent pas à vaincre le cancer. Un jour, le docteur me demanda ou je voulais que mon époux finisse ses jours. Je répondis que je voulais lui demander. Ammincit, chauve et éteint par la maladie mais encore très charismatique, mon homme me dit qu'il voulait la finir à mes cotés. J'ai alors demandé au docteur qu'il revienne à la maison. Cette nuit-là, nous avons fait à sa demande une dernière fois l'amour avec toutes la douceur du monde. Quelque jours plus tard, mon maris mourait heureux à mes cotés.
Du Changement dans ma Vie
Après le déces de Michael, il y a un mois, j'ai voulu fuir pour oublier. Mon jonc de mariée à la main, j'ai ramassée toutes mes affaires et j'ai pris la fuite. La maison sentait la mort. Les meubles sentaient notre amour. Les endroits que nous avions visités ensemble sentait notre amour. Le corps de mon amant avait été incinéré. J'ai encore avec moi ses cendres dans une urne en espérant que je puisse me souvenir pourquoi en regardant l'urne, je recherche cette paix intérieur. Je sais qu'il adorait le vent, mais je ne peux m'en débarasser. Et je suis partie, comme à dix-huit ans. Après un pélerinage d'un mois, sans réussir à oublier ma douleur, j'ai cogner à une porte d'une école et j'ai demander du travail. Du travail comme professeur. Du travail pour me montrer comment on sauve une vie par l'amour. Du travail pour une jeune veuve de vingt-deux ans qui avait besoin d'un toit pour dormir et pour oublier. Du travail comme boué de sauvetage. Et on m'a accepter, malgré le fait que je suis fatigué. Malgré le fait que j'ai besoin d'oublier.