Comment pouvait-on oublier un amour aussi pur que celui qui avait uni Michael Grandin, Acteur de métier et Maya Ii, vendeuse dans une boutique et étudiante de profession? En un mois, on ne pouvait guère outre passer la douleur de cette perte. Maya était bien placer pour le savoir. Elle avait impression de dépérir petit à petit. Peut-être que si elle aurait cru en dieu le deuil aurait été plus facile? Aurait-elle pu oublier combien son Michael lui manquait? Ne serait-elle pas assise sur sa valise pour la énième fois en un mois en train de chercher la raison pour laquelle quelque chose ou quelqu'un était venu lui ravir son ange? Bien sure qu'elle avait essayer de l'oublier! Mais comment pouvait-on aimer un homme avec une telle pureté pour l'oublier dès sa mort...
Cette idée la dégoutait. Celle d'oublier. Celle de tourner le dos à celui qui avait été le premier à poser un regard sans critique. La première personne qui l'avait encourager à suivre sa voie. Il avait été la première personne à croire en elle. Pire, à s'intéresser à elle. Et aujourd'hui, il était parti. Il ne reviendrais plus.
Pendant un moment, Maya fixa le vide. Ses larmes s'était comme fixer dans le temps. Pendant une fraction de seconde. Elle aperçu ses dents blanches. Ses yeux bleu comme la mer. Ses mains se perdirent dans les cheveux sombre de l'homme. Et la tempête recommença quand les cheveux s'évanouir d'un coup, que l'éclat des dents disparu que se regard bleu fut alourdi par des cernes noirs et denses. C'était l'image qu'elle gardait de son époux. Une pale imitation que la maladie avait finalement emporter avec elle.
Que pouvait-il rester de cette amour? Des cendres qui était enfouie dans le tréfonds d'un sac que la jeune femme n'avait pas le courage d'ouvrir pour contempler. Des sanglots lourds de regrets avait pris place. Pourquoi n'était-elle pas morte à sa place? Il ne méritait pas de mourir aussi jeune. Il lui semblait que c'était encore hier qu'il venait vers elle la réveiller avec un tendre sourire et une éluvion de baiser amoureux. C'était leur croisant de soleil. Leur liberté d'être unis malgré leurs cultures radicalement opposées.
Une main se posa sur son épaule la faisant à peine tressaillir. Le résultat était intact. Une main ne frôlait qu'à peine son épaule que son regard séchait ses larmes. Pleine d'espoir, elle relevait la tête persuadé que ses souhait les plus chers avait été exaucée et que son mari revenait vers elle. Mais chaque fois, elle se trouvait déçu que de trouver un bon samaritain qui avait pitié de la jeune femme.
Comment faisait-elle pour avoir une aussi grande confiance envers ce destin. Elle regarda l'homme qui lui demanda si elle allait. Retenant difficilement, ses larmes, elle lui répondit.
- Je suis un désastre humain depuis près d'un mois... Tenant compte de tout ce qui m'arrive, je vais bien.